1. Je ne vais au cinéma, parce que je n'ai argent. 2. Mon frère n'aime les carottes les petits-pois. 3. Vous avez acheté des vêtements en ville? Nous n'avons acheté. 4. Qui est dans la salle de bains? Il n'y a dans la salle de bains. Elle est libre. 5. Je vais au supermarché parce que nous n'avons lait. 6. Ma sœur n'a travail ce weekend. 7. Je n'ai devoirs ce weekend Maman.

1. Je ai rencontré dans la rue. 2. Il a dit à propos de sa femme. 3. À la fête de Jimmy, il y avait du bureau. 4. Au supermarché, je ai acheté pour les enfants

D’après un extrait du texte "Guérir en famille". Dans les services hospitaliers, où il (ne pas y avoir) la possibilité d’accueil des parents, il arrive que ceux qui (ne pas avoir) les moyens d’aller à l’hôtel, passent la nuit dans un fauteuil du hall ou dans leur voiture. Les "Maisons des Parents'' de la Fondation Ronald Mc Donald, situées à proximité immédiate de l’hôpital, accueillent des parents d’enfants grièvement malades et hospitalisés dont le domicile est éloigné de l’hôpital. Avantages, no 223, avril 2007, p. 78

D’après un extrait du livre de Saint-Exupéry, "Le Petit Prince". Puis il ajouta : - Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret. Le petit prince s'en fut revoir les roses. - Vous (ne pas être - au présent) du tout semblables à ma rose, vous rien encore (ne pas être - au présent), leur dit-il. Personne ne vous (apprivoiser - au passé composé, εξημέρωσε) et vous (ne pas apprivoiser - au passé composé) personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce (n’être que - à l’imparfait) un renard semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde. Et les roses étaient gênées.- Vous êtes belles mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On (ne pas pouvoir - au présent) mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles. Puisque c'est elle que j'ai écouté se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c'est ma rose. Et il revint vers le renard : - Adieu, dit-il... Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple : on (ne voir que - au présent) avec le coeur.

D’après un extrait du texte "La technologie accroît la soif de contrôle des jeunes, selon Cap Gemini". La nouvelle génération (ne pas être) seulement sur-équipée, elle est également très exigeante, notamment en terme de mobilité et de communication. Les jeunes ont un réel besoin de tout contrôler, tout de suite. Ce besoin de contrôle explique en partie pourquoi les jeunes passent de moins en moins de temps à écouter la radio ou devant la télé (1 h 30 de moins par rapport à 2001), car ils (ne pas pouvoir) contrôler ces médias. http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/

D’après un extrait du texte "La télé dévoreuse d’enfance". Pour habiller un enfant turbulent, il (ne pas y avoir) rien de tel, paraît-il, qu’un poste de télévision allumé : ébloui par les images, captivé par les sons, le rebelle se laisse faire, ayant perdu toute envie de bouger. Ce (ne pas être) la seule utilisation pédagogique du petit écran : bien des parents (ne pas confier) à la télé chaque jour leur progéniture « pour avoir la paix » ? Si la télé (ne pas empêcher) d’apprendre à lire, elle vole du temps à la lecture. L’enfant (ne pas faire) la distinction entre le réel et l’imaginaire. Il (ne guère apprendre) le monde avec son corps, mais du bout des yeux. La télévision, qui (ne pas être) le monde, mais une illusion du monde, l’éloigne du réel. Solé, Le Monde, 22-06-1995, texte pris dans Rédiger un résumé, un compte rendu, une synthèse, Charnet, J. Robin-Nipi, Hachette, 1997.

D’après un extrait de l'article: "Οlivier des Garniers, paysagiste entre ciel et terre". Olivier des Garniers (ne pas toujours planter, au passé composé) des arbres. Aujourd’hui, Olivier des Garniers, paysagiste, sélectionne avec soin des spécimens pour occulter une vue de chantier ou habiller une voie d’accès. (ne pas s’attendre, impératif - μην περιμένετε) pour autant à la végétation forestière : volume racinaire réduit, feuillage taillé (en plateau, en ruche, en nuage, en boule, en pyramide, en spirale), les fûts choisis sont soigneusement préparés en pépinière avant d’intégrer un environnement urbain. « Il (ne pas être possible au conditionnel, δεν θα ήταν δυνατό) de prendre directement un arbre dans la nature », explique l’architecte-paysager. Pour (ne pas perturber) le trafic aérien, les plantations (ne devoir ni…ni au présent) attirer trop d’oiseaux près des voies, susciter de chutes de feuilles importantes. « J’ai fait couler beaucoup de béton en tant qu’architecte, et je (ne pas toujours être, imparfait) content, se souvient-il. En revanche, voir planter un arbre, c’est toujours réjouissant ». Aéroports de Paris, no 53, février 2011, p. 69-70.

D’après un extrait de "La vie affective du vieillard". 1. Le vieillard (ne pas parvenir δεν καταφέρνω- au présent) à accepter le déclin de ses qualités physiques. 2. Ses enfants (ne pas tenir compte δεν υπολογίζουν- au présent) de ses avis, de ses conseils. 3. Toutefois, il (ne pas falloir - au présent) croire que la vie affective du vieillard présente seulement des côté négatifs. 4. Même si ses enfants (ne pas respecter - au présent) son autorité autant qu’il le souhaiterait, le vieillard éprouve souvent une joie très vive à voir grandir et se développer ses petits-enfants. 5. oublions (ne pas oublier- à l'impératif) que, retiré du monde, l’homme âgé vit surtout dans le passé. 6. Le présent (ne pas le solliciter δεν τον αφορά - au présent) directement puisqu'il (ne pas y avoir, δεν υπάρχει) de rôle social à y jouer. 7. Le vieillard songe à ce qu’était sa vie autrefois et l’évocation de ses divers moments (ne pas être) dépourvue de charme (δεν στερείται γοητείας). Encyclopédie de la Psychologie, Nathan.

D’après un extrait du texte "Bien vivre avec son prénom". 1. Notre prénom est une véritable carte de visite. Il nous pose sur des rails. À suivre ou ! 2. Notre nom de baptême nous désigne, nous, et les autres, contrairement au patronyme dont nous héritons de notre famille. 3. On existe en tant qu’individu grâce à lui. On s’y attache ou . 4. « Cela m’a beaucoup gênée à l’adolescence », raconte Dominique. C’était difficile de se sentir une vraie fille avec un tel prénom. Aujourd’hui je y fait attention. 5. « Pour bien vivre avec son prénom, conseille François Bonefaix, il faut d’abord comprendre qu’on peut porter un choix malgré soi. On doit l’accepter ou le rejeter. Par Marie-Hélène Jacquier, Avantages, no 238, juillet 2008, p. 45-51

1. papiers, Hamady Camara, il aime le mot. 2. «On est plutôt des rejetés, car les sans-papiers ont des papiers et ont fait des demandes à la préfecture ou à l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides)». 3. Après plusieurs demandes, il a abandonné l’idée d’un logement plus grand, à lui. 4. « À la télé, je vois des familles logées, ces enfants dans la rue, ça fait peur et ça donne envie de faire venir ma famille ». 5. « Mes parents savaient ce que j’allais subir ici ! par Dominique Simonnot, Le Nouvel Observateur, no 7866 – mercredi 23 août 2006, p. 9

ll faudrait en revenir à la définition de l’être humain et revoir ce qui a l’air évident alors que . Qu’est-ce que ça signifie d’être Français ? dans le fond. C’est arbitraire de dire que celui-là peut devenir Français et . Je considère que Fadela Amara, jeune femme musulmane, enrichit mon pays avec des idées qui . Propos d’Albert Jacquard, généticien des populations, recueillis par Laure Noualhat, Le Nouvel Observateur, no 7866 – mercredi 23 août 2006, p. 13

Rien (ne plus aller) à l’école. Selon l’OCDE, 19% des élèves de 15 ans (ne jamais pouvoir) se débrouiller face à des textes ou des problèmes : ils (ne rien comprendre) au maths, (ne pas lire) suffisamment bien ! L’école (ne plus être) un ascenseur social, comme il y a dix ans. La France (ne plus pouvoir) dépenser 65 milliards d’euros chaque année en laissant un élève sur cinq sur le bord du chemin !! Le Monde du 4 février 2014